J’écris pour vous raconter ce qu’une doctorante en psychologie m'a répondu qu'elle avait fait des études pour aider les autres mais pas sa famille. Je suis son frère ainé qui n'a pas pu faire des études et s'est endetté pour que sa sœur et son frère puissent manger et poursuivre dans des conditions viables leurs études. J’ai évité la mort à sa mère et ai permis que cette doctorante ne soit pas enceinte de son père. J’ai été soutien de famille pendant 8 ans. Tout ceci car j'ai eu le malheur de dénoncer mon père qui m'a violé depuis l'âge de trois ans jusqu'à mes 17 ans.
A mes douze ans, j'ai porté dans la boite aux lettres d'un juge pour enfant un courrier, après avoir fugué, pour l'appeler au secours. On ne m'a pas cru, j'ai donc été placé en famille d'accueil considéré comme caractériel et menteur. Le comble est que mes frères, suite au départ de leur père, ont su me dire que cela était normal d'être à leur service car j'étais à l'origine de la procédure de plainte pour viol et violences à mon égard ainsi que sur ma mère et mon frère et d'agressions sexuelles sur ma sœur. Aujourd’hui ma sœur, quand elle n'est pas en bourgogne vit avec son petit ami à moins de 30 kms et n'ai jamais venu me voir. Cela fera, le mois prochain, 9 ans que ma sœur n'a pas mis le pied chez moi car je ne dois pas être assez bien pour elle. Je me suis saigné aux quatre veines pour elle.la raison invoquée a été une gifle que je lui ai donné un soir que nous étions chez notre mère après m'avoir réveillé, sans aucun respect, en tambourinant sur la porte après une journée de plus de 15 heures. Donc cela fait mal au ventre pour une gifle qu'elle ne veuille plus me voir après le combat que j'ai du mener seul. Je n'ai pu faire d'études et ai dû apprendre le métier que la DDASS m'a imposé, jardinier. Heureusement, j'ai appris à l'aimer mais j'aurais voulu devenir vétérinaire. Pour m'en sortir j'ai acheté chez des bouquinistes des livres de psychologie pour arriver à comprendre ce qui m'était arrivé avec mon père. J’ai pu passer par dessus tout cela m'en sortir et me battre pour mes frères et ma mère.
Dénoncer un membre de sa famille pédophile est une action qui retombe souvent sur soi car des familles entières couvrent ces phénomènes et causent les pires ennuis à ceux qui ont le malheur de vouloir faire stopper l'hémorragie. Une plainte n'aboutit rarement à quelque chose, si ce n'est le discrédit, devenir coupable de mettre à découvert le tabou. L’enfant criant au secours en étant turbulent est considéré comme caractériel. Une fois catalogué, c'est de faire valoir sa douleur et de faire réagir l'entourage. Des villages entiers se taisent, trouvant normal de laisser faire en se disant on le sait même quand un enfant cri sous les coups de son bourreau. Les médecins de famille apprécient l'odeur de l'argent et font comme par hasard disparaitre des dossiers d'enfants abusés et frappés. Le pire est le pédophile riche et bien connu passant pour quelqu’un de serviable mais qui viole ses enfants sans aucune crainte et leur fait subir des privations et violences physiques. Tout ce qui pu rebute les gens à remuer ceci. Arrêter un pédophile d'enfants dans notre pays n'a aucune importance donc les autorités ne prennent pas au sérieux en laissant une prescription, permettant d'agir aux pédophiles et de s'arrêter sans être inquiété. On dirait quez passé un temps on absout les pédophile empêchant leur victime de faire la justice. Plusieurs personnes apprenant l'inceste commis par son voisin ou le viol à côté de chez lui disent c'est vrai "c'est horrible " mais à l'écoute des cris d'un enfant ou d'une mère ou d'une femme de leur voisinage très proche, ils sont pris d'une surdité soudaine et même d'une amnésie passagère quand il faut témoigner quand la justice s'empare d'un crime sexuel ou violences.
Voilà, je suis malade de voir qu'après avoir fait des études de psychologie que cette doctorante ne comprenne pas que j'ai un besoin vital de pouvoir la serrer dans mes bras comme le frère qui s'est battu pour elle. Je vous laisse. Cordialement.