Thérapies
Les thérapies offrent un espace d’écoute et de réflexion pour comprendre ses émotions, surmonter ses blocages et mieux se connaître. Thérapies cognitives, psychanalyse, thérapies comportementales… Chaque approche propose des outils adaptés à différents besoins psychologiques.
Un enfant qui parle trop vrai : l’écho d’une parole brute
Il y a des phrases qui frappent plus fort que prévu. Non pas parce qu’elles sont cruelles ou calculées, mais parce qu’elles sont d’une justesse désarmante. Et souvent, ce sont…
Quand le corps parle à la place de la parole : une souffrance invisible
Certaines douleurs psychiques ne se formulent pas. Elles n’empruntent ni le langage de la plainte ni celui des émotions reconnaissables. Elles se glissent dans le corps : douleurs chroniques, épuisements…
Se réveiller fatigué : quand l’inconscient travaille la nuit
Il y a des matins où le corps se lève mais où l’âme reste couchée. Aucune dette de sommeil objective, pas de soirée agitée ni de maladie identifiable, et pourtant…
Souffrir “pas assez” : quand la douleur ne semble pas légitime
Il arrive que des personnes en détresse hésitent à consulter, ou s’excusent presque de le faire. « Ce n’est pas si grave », « je n’ai pas vécu de traumatisme…
Vouloir plaire à son psy : une stratégie pour être accepté ou aimé ?
Dans le cadre protégé de la thérapie, chacun·e cherche à déposer quelque chose de soi. Mais ce mouvement est parfois précédé, ou empêché, par un autre : le désir de…
Redouter de décevoir en séance : que cache cette peur de mal faire ?
On n’y pense pas toujours, mais pour beaucoup de patients, venir en séance n’est pas un simple rendez-vous neutre. C’est un moment qui met en jeu quelque chose de l’ordre…
Chercher un guide sans le dire : quand le besoin de direction reste inavoué
Certaines personnes arrivent en thérapie avec une posture d’indépendance affichée, une volonté de « réfléchir », d’« explorer ». Pourtant, derrière ce discours, se dissimule parfois un besoin profond :…
Être « le patient modèle » : désir de fusion ou peur d’être rejeté ?
Certaines personnes s’appliquent à bien faire leur thérapie comme on suivrait une consigne scolaire. Elles arrivent à l’heure, parlent « comme il faut », évitent les débordements. Elles veulent être efficaces, pertinentes, avancent régulièrement, et semblent parfois s’excuser d’aller mal. Derrière cette apparente rigueur se cache souvent un besoin inconscient : celui d’être le patient idéal pour garantir une forme de lien sécurisant. Mais cette quête d’irréprochabilité a un prix : elle empêche l’émergence de ce qui déborde, dérange ou résiste – pourtant essentiel au travail psychique. Une fidélité absolue, un lien figé Le patient modèle ne conteste pas, ne critique pas. Il écoute avec application, mais sans conflit. Il…